Avant d’évoquer le fait qu’« être une femme est handicapant dans certains domaines», un bilan sur les paralympiques de Paris 2024 est nécessaire. Les para-athlètes étaient magnifiques, acclamés et applaudis quand ils descendaient les Champs-Elysées jusqu’à la place Concorde (voir le premier article sur les paralympiques « les femmes et les hommes ensemble » ). Ils étaient magnifiques quand ils se sont surpassés, malgré leur handicap, et pourtant, ils ont dû faire à de nombreux défis.
Premièrement, malgré « la nouvelle stratégie handicap et accessibilité universelle votée au conseil de Paris en 2022 », basée sur 6 engagements avec 2 liens ( stratégie parisienne handicap inclusion et accessibilité de janvier 2023, lien ; l’autre quelle accessibilité pour les jeux olympiques et paralympiques de juillet et octobre 2024, lien ), cela demeure compliqué dans les transports en commun, pour les personnes en situation d’handicap.
C’est ainsi que les associations de personnes en situation d’handicap « dressent un état des lieux très critique à l’occasion des Jeux paralympiques » ( article du monde l’inclusion des personnes en situation d’handicap progresse peu d’août 2024, lien).
Pourtant, il n’y a pas de secrets, si on veut que les choses s’améliorent, il suffit d’investir, financièrement et temporellement.
Pour les paralympiques 2024 « La Chine écrase la concurrence depuis le début des Jeux paralympiques avec 196 médailles remportées, dont 83 d’or… Une performance notamment rendue possible par les investissements massifs de Pékin dans l’handisport depuis le début des années 2000… » (article de France 24 pourquoi la délégation chinoise est si forte aux jeux paralympiques de septembre 2024, lien )
Si on revient au fait qu’être une femme est handicapant dans certains domaines, parlant de l’endométriose. Cette
« maladie fréquente qui reste mal connue… qui affecte les femmes. Elle se caractérise par le développement de tissus semblables à la muqueuse utérine sur différents organes en dehors de l’utérus… »
Anact publié en mars 2024
Elle peut être très invalidante.
«La RQTH (Reconnaissance de la qualité de travailleur Handicapé) pour l’endométriose permet de bénéficier de mesures pour l’aménagement des horaires, du poste de travail ou l’appui à une reconversion éventuelle »
Anact publié en mars 2024
Femmes en situation d’handicap ou pas, ne lâchons rien, tout est possible avec de la communication, des moyens adaptés et de la volonté. Et, TPC ( touspourchacune.com) va reprendre certains articles publiés, en comptant celui-ci pour qu’ils deviennent des articles audios, accessibles à plus de personnes, que vous retrouverez sur sa chaine Youtube.