
Sur le site de rajart.fr, on retrouve un article qui est une ébauche sur la dépression masculine avec pour titre « hommes en détresse ». On comprend très vite que la dépression est plus difficile à déceler chez l’homme, et, que même si elle est décelée, la société, l’entourage, et la personne concernée sont des freins à une bonne prise en charge.

Dans un autre article, Feelapp, on évoque aussi la dépression masculine on nous invite à faire attention à certains signes
« isolement social, changements d’habitudes de vie, symptômes physiques, baisse de la libido, comportements à risque (alcool, drogue, conduite dangereuse) »
Une prise en charge précoce est cruciale, comme le soutien des proches.



Les hommes ont majoritairement du mal à exprimer leur détresse, les comportements à risque peuvent les amener à avoir des pensées suicidaires ou faire des tentatives de suicide. On apprend dans l’article « journée internationale de l’homme, la gent masculine à l’honneur le 19 novembre » qu’
« En France, le taux de suicide moyen est de 12.1 pour 100 000 habitants. Il est de 17.9 pour 100 000 hommes contre 6.5 pour 100 000 femmes, soit presque 3 fois plus élevé. Pourquoi cet écart ? Il est essentiellement à mettre en corrélation avec la méthode de suicide employée par les hommes : pendaison dans 61 % des cas, usage des armes à feu dans 16 % des cas. Des procédés violents qui laissent peu de chances à la survie… La Journée internationale des hommes œuvre aussi pour la mise en place de plus d’actions de prévention.»
Peu importe ce qu’on peut penser de la journée internationale de l’homme, les combats qui lui sont associés sont vitaux pour tous. Pour les hommes dans un premier temps, mais aussi pour la femme, pour les enfants, pour notre avenir….
Lien pour l’article audio
